Dans la langue de Molière, on l’appelle Grenade, mais en moi résonne Granada, avec cet accent chantant des espagnols qui lui confère à la fois plus de caractère et de musicalité.
Grenade l’andalouse, j’entends ce nom et avec me parvient indubitablement le son de claquements de mains, de talons qui martèlent le sol, une robe colorée qui virevolte et des sons de guitare qui se mêlent à une mélopée poignante de flamenco.